Le total en 2015 s’établit à 13,7 millions de tonnes. Il fait suite à une baisse de 2,5 % en 2014. Alors qu’il était resté relativement épargné par le passé, le pays a subi à son tour l’impact du déferlement de billettes chinoises, dont les prix très bas ont séduit la Turquie et le Moyen-Orient, habituels clients de la matière recyclée germanique. Ce facteur vient s’ajouter à une situation de marché morose.Les aciéries électriques allemandes ont diminué leur production de 3,3 % l’an dernier, soit un volume de 11,9 millions de tonnes, après un recul d’une ampleur comparable en 2014. Dans le même temps, la filière à oxygène a par contre progressé de 1,5 % ce qui limite la baisse totale de la sidérurgie allemande à 0,6 %, aboutissant à un total 42,7 millions de tonnes, en phase avec la moyenne des dernières années.Le quatrième trimestre 2015 a été particulièrement difficile, il a enregistré une chute de 16 % des entrées de commandes de l’étranger (dont – 32 % hors Union européenne), alors que la demande intérieure est repartie légèrement à la hausse (+ 2,8 %).Christian Robischon
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