Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Cleantech > Grenoble sous tensions
CLEANTECH

Grenoble sous tensions

PUBLIÉ LE 3 NOVEMBRE 2014
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Grenoble devrait changer de prestataire d'éclairage public le 1er  janvier 2015 : la nouvelle équipe municipale vient en effet de préférer le groupement privé Citeos, du groupe Vinci, à la société d'économie mixte (SEM) Gaz électricité Grenoble (GEG). « Devrait », car le vote de cette décision est suspendu à des négociations, ouvertes après l'interruption du conseil municipal du 20 octobre dernier par l'intersyndicale en colère de GEG (CGTFO-CFE-CGC). « La perte de ce contrat représente une diminution de 1,5 million d'euros de notre chiffre d'affaires, dénonce Yves Zarb, délégué FO. Et nous nous inquiétons pour nos 25 salariés qui se consacrent à l'éclairage grenoblois et risquent de perdre leur statut en étant repris par Citeos ». En jeu aussi pour la SEM grenobloise, la perte d'un marché historique, et le « sentiment d'avoir été trahi » par le maire écologiste Éric Piolle (photo), qui, selon le syndicaliste, « s'était engagé pendant sa campagne à passer l'énergie en régie municipale ». À la mairie, Éric Wiart, adjoint chargé des marchés, confirme que sa majorité souhaite « mettre en œuvre une régie pour la gestion de l'énergie. Mais plutôt à l'échelle de la future métropole et à l'horizon 2017 ». À « plus court terme », le choix de Citeos pour l'éclairage public repose sur « une nécessité de moderniser l'équipement ». Avec des objectifs ambitieux, d'ici à 2022 : diviser par deux la consommation d'énergie, qui atteignait 11,4 GWh en 2013, et diviser par cinq la pollution lumineuse en variant l'éclairage selon la luminosité. Le 28 octobre, premier jour des négociations, le désaccord persistait entre la ville et l'intersyndicale et le changement de prestataire n'était toujours pas inscrit à l'ordre du jour du conseil municipal du 17 novembre. FR/PT
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Heineken mise sur l’agriculture régénératrice dans le Nord-Est de la France
Heineken mise sur l’agriculture régénératrice dans le Nord-Est de la France
Le grand flou de la comptabilisation des quotas carbone dans les entreprises
Le grand flou de la comptabilisation des quotas carbone dans les entreprises
Tribune | « Les éco-entrepôts : garantir la résilience de l’immobilier logistique »
Tribune | « Les éco-entrepôts : garantir la résilience de l’immobilier logistique »
Le grand retour de Pollutec à Paris les 26 et 27 novembre 2024
Le grand retour de Pollutec à Paris les 26 et 27 novembre 2024
Tous les articles Cleantech
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS