Cet accord devrait vraisemblablement s'inspirer de ceux déjà annoncés en Israël, au Danemark, et en juillet au Portugal (voir Environnement & Stratégie n°263), qui visent le déploiement à l’horizon 2010 d'infrastructures de recharge ou d'échange rapides de batterie, condition nécessaire au développement de la voiture électrique.
Rappelons que la stratégie du constructeur automobile français en matière de véhicules "propres" est de développer directement la traction électrique, sans passer par l’étape de l’hybridation. Les batteries lithium-ion sont fournies par AESC, joint venture entre Nec et Nissan.Jean-Philippe Bondy