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POLLUTIONS

Les plantes invasives reviennent au Parlement

PUBLIÉ LE 23 MAI 2014
LA RÉDACTION
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Dans ce texte, l'Ambroisie sera d'ailleurs associée à quatre autres plantes invasives : le datura, l’orobanche, la renouée du Japon et la berce du Caucase. Le datura, aux graines toxiques, est présent dans le SudOuest, l’orobanche est un fléau pour l’agriculture de l’Ouest, la renouée du Japon colonise partout les bords de routes et berges de rivières et la berce du Caucase, au Nord, rend la peau photosensible. « Il fallait intégrer d’autres plantes nuisibles pour justifier une loi », estime Erwann Binet, député PS de l’Isère qui, fin 2013, avait jugé « imparfaite » une première version du texte rédigée pour la seule ambroisie. « Oui, mais ces plantes ne menacent pas les cultures et l’homme autant que l’ambroisie, remarque Alain MoyneBressand, député UMP de l’Isère et président du comité parlementaire de suivi du risque ambroisie et autres plantes invasives. Mais, après le rejet de notre proposition en décembre à l’Assemblée nationale, nous avons dû élargir notre spectre. Il faut qu’enfin, après des années de travail, une loi puisse donner des moyens de lutte, mécaniques et sanitaires, contre l’ambroisie. » Très ancrée en Rhône-Alpes, où elle coûte quelque 20 millions d’euros à l’assurance maladie, ambrosia artemisiifolia progresse en France, avec une prédilection pour les aires de chantier et les champs de maïs ou de tournesol. « Elle prend une ampleur nationale, estime Quentin Martinez, chercheur à l’Observatoire de l’ambroisie. Et s’implante dans le Vaucluse, le Gard, le Sud-Bourgogne, le Centre, les Pays de la Loire et en Poitou-Charentes. »FR/PT
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