Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Recyclage > Associations sous tension
RECYCLAGE

Associations sous tension

PUBLIÉ LE 15 FÉVRIER 2016
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Les relations entre associations de collectivités n'étaient pas au beau fixe. Elles deviennent orageuses, au sujet de leur représentation respective dans les instances de concertation. Amorce a protesté, récemment, de n'être pas représentée au Conseil national des déchets (CND) – pas plus que ne l'est le Cercle national du recyclage (CNR). « Je siège au CND en tant que personne qualifiée, mais sans droit de vote », se désole Nicolas Garnier, délégué général d'Amorce. Aujourd'hui, Amorce insiste, auprès du ministère de l'Écologie, sur la « nécessité d'une juste représentativité » des collectivités au sein de la commission des filières REP, à la suite du décret du 30 décembre 2015. La composition de cette commission avait déjà fait l'objet d'un courrier, adressé en juillet 2015 au Premier ministre, et cosigné par les associations ADCF, ex-Acuf (« France urbaine »), ARF, Amorce et CNR. L'AMF estime être « la seule à avoir la représentativité pour nommer le bloc communal ». « Les associations qui disent qu'elles ne sont pas dans ces instances mentent, car nous avons nommé des élus de ces associations », argue l'AMF. Mais aux yeux de Nicolas Garnier, « ce n'est pas à une structure d'être le seul représentant et de compiler les avis des uns et des autres. Sans remettre en cause la légitimité de l'AMF, nous proposons une approche pluraliste où chaque structure choisit ses représentants et vote en son âme et conscience. » Et Amorce de mettre en avant les 45 millions d'habitants sous contrat avec les éco-organismes, qu'elle représente à travers ses collectivités adhérentes. « Les entreprises et fédérations représentent 20 % du financement d'Amorce, avec aucune autre source que les adhésions », déclare Nicolas Garnier. Ajoutons que les manifestations de l'association sont ouvertes aux non-adhérents, avec paiement à la clé. Du côté de l'AMF, ses comptes 2014 font état de recettes provenant à 70 % des cotisations. Le delta provient de son congrès annuel, du salon des maires et de la diffusion de son magazine Maires de France.
PARTAGEZ
À LIRE ÉGALEMENT
Sepur reprend l’exploitation d’un des plus grands centres de tri français, dans l’Oise
Sepur reprend l’exploitation d’un des plus grands centres de tri français, dans l’Oise
Citeo teste le retour de la consigne dans 4 régions
Citeo teste le retour de la consigne dans 4 régions
Derichebourg Environnement ouvre une nouvelle usine de recyclage de câbles dans le Nord
Derichebourg Environnement ouvre une nouvelle usine de recyclage de câbles dans le Nord
Paprec à la tête des Recycleurs Bretons
Paprec à la tête des Recycleurs Bretons
Tous les articles Recyclage
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS